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Текстове на песни: Furia. L'antre Des Morts.

[Miran:] Etre le bourreau de mon amour ou celui de la race humaine, voila le
poids de la decision qui m'est imposee?Non?
Comment puis-je decider de ta mort, la privation d'un avenir, qui aussi
incertain qu'il soit?Amour? Terreur? Je ne peux pas

[Milara:] Miran, l'amour que je te porte est le fruit d'une passion.
Ni la souffrance, ni la mort ne detruira notre union.

Un sourire vint marquer le visage du monarque. L'amour qui unissait Miran et
Milara lui semblait futile. Le denouement de leur histoire lui etait certain
et sans appel.

[Le Monarque:] Les portes du temps, le controle d'une vie, voila la richesse
de l'heritage que te legue ton pere.
tu n'es qu'un enfant?mais ces mysteres sont Ta vie, cesse donc d'ignorer ce
don, la puissance de tes ancetres?

[Miran:] Sache miserable pretre noir, que je ne puis me resigner a voir ton
maitre continuer?Tueries? Pillage?Je ne veux pas.

[Milara:] le temps nous presse, il faut choisir entre ma vie et la tuerie.
Regarde moi, car tu le sais, le choix est deja fait.

Des larmes de sueurs coulaient sur le front de Miran. L'instant fatidique
approchait. Miran pris le glaive de la conjuration encore ancre dans les
entrailles de la vierge, et, s'approcha lentement de Milara?

[Miran:] Non?Milara, ecoute moi?Non?je t'en supplie?Non?

Avec l'aide de Milara, Miran enfonca le glaive si brutalement que les cris
de cette derniere se firent entendre bien au dela du monastere?jusqu'aux
frontieres du fleuve maudit.

Le monarque, temoin de cette scene fut agreablement surpris lorsqu'il vit
dans le regard de Miran, celui de son pere?
Il y vit la haine et la satisfaction, le plaisir du meurtre et de
l'humiliation?
Miran n'etait plus car son enveloppe charnelle etait maintenant en train de
s'abreuver du sang pur et ecarlate de sa victime, la deshabillant par la
meme occasion afin d'aspirer tel un nouveau-ne les glandes mammaires de sa
poitrine?

Le visage de Miran, empli du sang de son amour, laissa apparaitre une larme,
symbole de son combat interieur, victime de son inguerissable mal.

[Le Monarque:] Tu es mon seigneur, je ne peux que le croire.
Que ton pere en ce lieux, soit des notre, pour savourer sa victoire.
Vois, ce sang repandu, ce que tu es devenu?
Que ton pere en ce lieux, soit des notre, pour savourer sa victoire?