Текстове на песни: Jean-Jacques Goldman. Il Changeait La Vie.
C'etait un cordonnier, sans rien d'particulier
Dans un village dont le nom m'a echappe
Qui faisait des souliers si jolis, si legers
Que nos vies semblaient un peu moins lourdes a porter
Il y mettait du temps, du talent et du coeur
Ainsi passait sa vie au mileu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes theories
A sa tache chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie
C'etait un professeur, un simple professeur
Qui pensait que savoir etait un grand tresor
Que tous les moins que rien n'avaient pour s'en sortir
Que l'ecole est le droit qu'a chacun de s'instruire
Il y mettait du temps, du talent et du coeur
Ainsi passait sa vie au mileu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes theories
A sa tache chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie
C'etait un p'tit bonhomme, rien qu'un tout p'tit bonhomme
Malhabile et reveur, un peu loupe en somme
Se croyait inutile, banni des autres hommes
Il pleurait sur son saxophone
Il y mit tant de temps, de larmes et de douleur
Les reves de sa vie, les prisons de son coeur
Et loin des beaux discours, des grandes theories
Inspire jour apres jour de son souffle et de ses cris
Il changeait la vie
Dans un village dont le nom m'a echappe
Qui faisait des souliers si jolis, si legers
Que nos vies semblaient un peu moins lourdes a porter
Il y mettait du temps, du talent et du coeur
Ainsi passait sa vie au mileu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes theories
A sa tache chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie
C'etait un professeur, un simple professeur
Qui pensait que savoir etait un grand tresor
Que tous les moins que rien n'avaient pour s'en sortir
Que l'ecole est le droit qu'a chacun de s'instruire
Il y mettait du temps, du talent et du coeur
Ainsi passait sa vie au mileu de nos heures
Et loin des beaux discours, des grandes theories
A sa tache chaque jour, on pouvait dire de lui
Il changeait la vie
C'etait un p'tit bonhomme, rien qu'un tout p'tit bonhomme
Malhabile et reveur, un peu loupe en somme
Se croyait inutile, banni des autres hommes
Il pleurait sur son saxophone
Il y mit tant de temps, de larmes et de douleur
Les reves de sa vie, les prisons de son coeur
Et loin des beaux discours, des grandes theories
Inspire jour apres jour de son souffle et de ses cris
Il changeait la vie
Jean-Jacques Goldman
Jean-Jacques Goldman
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