Текстове на песни: Lynda Lemay. La Culpabilité.
J'suis comme un arbre, c'est mon premier automne,
Mon tronc se cabre et mes parures m'abandonnent
J'ai eu deux hommes, la, pendus a mes bras
Comme les pommes d'un pietre pommier maladroit
J'etais plantee, impuissante et tordue
Ils sont tombes et je n'y ai jamais rien pu
Depuis j'me sens nouee dans tout mon tronc
Et puis pourtant, il me pousse encore ces bourgeons
Qui apparaissent sous des pluies de questions
Quand l'sol s'affaisse, quand l'soleil donne sa demission
Des lendemains naissent alors qu'on veut mourir
La vie qui reste a ses raisons de nous ret'nir
On fait le deuil de ceux qu'on voit partir
Comme tant de feuilles qui n'en pouvaient plus de rougir
Rougir de honte, rougir d'avoir echoue,
D'avoir fait de l'ombre a ceux qu'on voulait voir briller,
Y a rien d'plus vieux qu'la culpabilite
J'crois que, peu a peu, elle va tous nous eliminer
Ca mene le monde, ce sentiment damne
Qui chaque seconde incite les gens a regretter
C'est contagieux la culpabilite,
C'est insidieux, ca vient, ca veut s'enraciner
Parmi les arbres, parmi les etres
Tous les coupables qui regrettent...
C't'a cause de moi qu'j'l'ai fait partir, je l'ai somme de disparaitre
C't'a cause de moi qu'il est parti, je l'ai trompe comme une traitre
C't'a cause de moi, vous l'savez bien, j'l'ai encabane comme un chien
Ct'a cause de moi, je vous en prie, je l'ai vu naitre, je l'ai concu
J'ai foutu en l'air toute sa vie, et il m'en a toujours voulu
Comme les arbres denudes par l'automne,
Nos troncs se garent mais la nature nous pardonne.
(Merci a dje pour cettes paroles)
Mon tronc se cabre et mes parures m'abandonnent
J'ai eu deux hommes, la, pendus a mes bras
Comme les pommes d'un pietre pommier maladroit
J'etais plantee, impuissante et tordue
Ils sont tombes et je n'y ai jamais rien pu
Depuis j'me sens nouee dans tout mon tronc
Et puis pourtant, il me pousse encore ces bourgeons
Qui apparaissent sous des pluies de questions
Quand l'sol s'affaisse, quand l'soleil donne sa demission
Des lendemains naissent alors qu'on veut mourir
La vie qui reste a ses raisons de nous ret'nir
On fait le deuil de ceux qu'on voit partir
Comme tant de feuilles qui n'en pouvaient plus de rougir
Rougir de honte, rougir d'avoir echoue,
D'avoir fait de l'ombre a ceux qu'on voulait voir briller,
Y a rien d'plus vieux qu'la culpabilite
J'crois que, peu a peu, elle va tous nous eliminer
Ca mene le monde, ce sentiment damne
Qui chaque seconde incite les gens a regretter
C'est contagieux la culpabilite,
C'est insidieux, ca vient, ca veut s'enraciner
Parmi les arbres, parmi les etres
Tous les coupables qui regrettent...
C't'a cause de moi qu'j'l'ai fait partir, je l'ai somme de disparaitre
C't'a cause de moi qu'il est parti, je l'ai trompe comme une traitre
C't'a cause de moi, vous l'savez bien, j'l'ai encabane comme un chien
Ct'a cause de moi, je vous en prie, je l'ai vu naitre, je l'ai concu
J'ai foutu en l'air toute sa vie, et il m'en a toujours voulu
Comme les arbres denudes par l'automne,
Nos troncs se garent mais la nature nous pardonne.
(Merci a dje pour cettes paroles)
Lemay Lynda
Lemay Lynda