Текстове на песни: Edith Piaf. Otras Canciones. Salle D'attente.
:
L'un pres de l'autre, ils etaient la,
Tous deux assis, comme endormis
Au bord de la banquette en bois
Dans la salle d'attente.
A travers la vitre, on voyait
Le vieux manege qui grincait
Et sa musique tourbillonnait
Dans la salle d'attente,
Et cette musique semblait pousser
La grande aiguille de la pendule
Avec un bruit demesure,
Demesure et ridicule
Et cette pendule les obsedait,
Cette pendule qui les regardait,
Cette pendule qui tourbillonnait
Dans la salle d'attente,
Et dans leur tete ca glissait,
Manege, musique, pendule...
La pendule devenait manege,
Le manege devenait pendule,
Et leurs souvenirs, en cortege,
Remontaient, defilaient, s'envolaient...
L'un pres de l'autre ils etaient la,
Tous deux assis, comme endormis
Au bord de la banquette en bois
Dans la salle d'attente
Et quand le train est arrive,
Tous deux, ils se sont regardes
Et sans un mot se sont leves,
Dans la salle d'attente,
Et dans leur tete, ca glissait :
Present, passe, manege...
Les souvenirs devenaient presents.
Le present devenait souvenir...
Et leurs paroles, en cortege,
Hesitaient, se troublaient, s'envolaient.
Quand, dans le train, il est monte,
C'est elle qui s'en est apercu
Et en courant est revenue
Dans la salle d'attente
Mais le train avait disparu...
Vous n' trouvez pas que c'est idiot,
Une femme qui marche dans la rue
Avec une musette et un calot ?
C't' idiot !...
C't' idiot !...
...C't' idiot !
L'un pres de l'autre, ils etaient la,
Tous deux assis, comme endormis
Au bord de la banquette en bois
Dans la salle d'attente.
A travers la vitre, on voyait
Le vieux manege qui grincait
Et sa musique tourbillonnait
Dans la salle d'attente,
Et cette musique semblait pousser
La grande aiguille de la pendule
Avec un bruit demesure,
Demesure et ridicule
Et cette pendule les obsedait,
Cette pendule qui les regardait,
Cette pendule qui tourbillonnait
Dans la salle d'attente,
Et dans leur tete ca glissait,
Manege, musique, pendule...
La pendule devenait manege,
Le manege devenait pendule,
Et leurs souvenirs, en cortege,
Remontaient, defilaient, s'envolaient...
L'un pres de l'autre ils etaient la,
Tous deux assis, comme endormis
Au bord de la banquette en bois
Dans la salle d'attente
Et quand le train est arrive,
Tous deux, ils se sont regardes
Et sans un mot se sont leves,
Dans la salle d'attente,
Et dans leur tete, ca glissait :
Present, passe, manege...
Les souvenirs devenaient presents.
Le present devenait souvenir...
Et leurs paroles, en cortege,
Hesitaient, se troublaient, s'envolaient.
Quand, dans le train, il est monte,
C'est elle qui s'en est apercu
Et en courant est revenue
Dans la salle d'attente
Mais le train avait disparu...
Vous n' trouvez pas que c'est idiot,
Une femme qui marche dans la rue
Avec une musette et un calot ?
C't' idiot !...
C't' idiot !...
...C't' idiot !
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Piaf, Edith
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