{Herbert} Veux-tu me dire quelque chose Un secret ou un reve Une histoire, un souvenir lointain? Veux-tu me taire quelque chose Un regret ou un geste
Frollo: Cet ocean de passion Qui deferle dans mes veines Qui cause ma deraison Ma deroute, ma deveine Doucement j'y plongerai Sans qu'une main me retienne
Mmmm Tendre est la nuit qui vient Rose, un dernier rayon s'eteint Le laser court le long du sillon Et sur ma peau courent les premiers frissons Ta voix
Je te regarde Tu sais ce que je pense Je veux que pour toujours tu gardes Ce charme en transparence Cette innocence Les jours qui passent Te rendent
Moi je voudrais voler votre ame Decouvrir votre c?ur Et vous deshabiller madame Quand vos pensees sont ailleurs Moi je voudrais vous envahir Vous gardez
: Faire l'amour a une femme, d'un sourire Deshabiller son ame sans rien dire Deviner sur ses levres, un soupir Et prolonger dans ses reves, mon desir
: Elle: Deviner le jour qui se leve Sentir ton regard sur moi Toucher ton visage Respirer ta peau Et m'abandonner contre toi Lui: Dechiffrer tes yeux
: Humm, donner, donner des demain Donner, mille fois pour rien Donner, sans jamais reprendre Donner, du c?ur et des yeux Donner, oh, tout ce que l'on
: Tu n'emportes rien, c'est vrai! Tu ne me dois rien, ok! Tu emportes tout avec toi Puisque tu etais pour moi Tu me dis qu'un jour ou l'autre J'en trouverai
: Je prefere l'attendre Commencez sans moi Je serai plus tranquille Quand elle sera la Je ne serai pas le meme Si elle ne vient pas Allez, commencez
: J'aime le gout sale de ta peau Quand ton corps tout bronze sort de l'eau Et ce parfum leger qui me rend fou J'aime tes yeux etranges qui sourient Quand
: Elle etait belle et lumineuse Et elle ne savait pas mentir Nous vivions si bien dans la Creuse Elle aimait tout ce que j'aimais Elle aimait rire Elle
: La pluie qui tombe depuis des heures jette un silence entre nous, Ce train qui d'eloigne bride mon c?ur Je suis jaloux de vous J'ai si mal, j'ai si
: L'ombre a envahi la chambre d'un bonheur silencieux et le soir vient nous surprendre, enlaces et heureux un neon par la fenetre, glisse un rayon sur
: Elle est l'eau claire des sources La lumiere qui va jaillir au matin Le temps sur son front a dessine des sillons Et j'ai peur pour elle Souvent je
: {Lui, Parle:} Il la regarde dormir Sans l'ombre d'un soupir Dans cet etrange voyage Depuis la nuit des temps Aime-moi, retiens-moi, a jamais, a mourir
: Sublimes divines troublantes charnelles Elles n'ont plus grand chose a cacher Sur les tresors qu'elles nous revelent Dans toute la presse specialisee
: Un tatouage sur l'epaule droite En souvenir de l'ile de Wight Au moins une fois divorcee De la nostalgie du passe Quelque chose de Barbarella Que